Règle d'or et gauche radicale, l'éditorial bourré de fautes de Françoise Fressoz

Outre les innombrables fautes d'orthographe de Françoise Fressoz – surnommée Dyslexia dans les rédactions parisiennes –, son dernier éditorial sur "la gauche radicale et la règle d'or" révèle la méconnaissance crasse de cette ultralibérale hallucinée. 

Habituée des cercles patronaux, Fressoz ignore tout de ce qui se situe à la gauche du Modem.

C'est la raison pour laquelle elle parle d'une "association Copernic" là où il y a lieu de parler d'une Fondation. Elle range le Front de Gauche parmi les "partis politiques" alors qu'il s'agir d'une alliance de partis. Enfin, cette personne, visiblement en situation de détresse intellectuelle, affirme que "le PCF et les Verts [...] ne doivent leur représentation au Parlement qu'au bon vouloir des socialistes". Si cette assertion est parfaitement exacte en ce qui concerne EELV (Les Verts n'existent plus, Fressoz), elle est 100% fausse en ce qui concerne le PCF, qui a conquis l'intégralité de ses sièges contre le PS, sans aucune alliance électorale avec celui-ci (et qui a d'ailleurs perdu de nombreux sièges du fait de cette intransigeance).

L'Agence constate que Mme Fressoz est plus à même de couvrir les sauteries des think tanks thatchériens que les démêlés stratégiques de la gauche de gauche. Par conséquent, elle lui décerne un avertissement.